L’export en Algérie : une opération facile ?

L’import-export est considéré comme étant le moteur et la pierre angulaire de l’économie mondiale et du commerce international. Nous croyons souvent que ce sujet est l’un des plus compliqués sans savoir que beaucoup de détails simples nous échappent.

Le transitaire INTRAMAR nous fournit tout ce qu’il faut savoir sur l’export en Algérie, en passant par les produits les plus exportés jusqu’au dossier à fournir, rendant la tâche facile.

Sachant que l’importation est aussi importante que l’exportation, cette dernière porte en elle une valeur socio-culturelle. Exporter un produit vers l’étranger permet indirectement d’exporter une marque nationale et de faire connaitre un trait culturel spécifique à un certain pays.

Dans le cas de l’Algérie, très riche sur tous les plans, les hydrocarbures constituent la principale source de revenus. Par ailleurs, ces dernières années une certaine diversification économique s’est imposée notamment dans les domaines:

  • Agricole;
  • Médical;
  • Ainsi que celui de la tannerie et les vêtements. Par exemple.

Les produits algériens les plus exportés
durant l’année 2021-2022:

  • Produits alimentaires:
    • les fromages,
    • les conserves,
    • les fruits et légumes,
    • les pâtes alimentaires,
    • les boissons et l’huile d’olive,
    • à cela s’ajoute les ailes et pattes de poulets congelés;
  • Les produits pharmaceutiques et cosmétiques;
  • Les produits d’hygiène et les couches;
  • Les matériaux de construction:
    • ciments,
    • rond à béton…;
  • Les produits de récupérations pour recyclage:
    • matières plastiques,
    • lubrifiants usages,
    • bale de papiers…;
  • Les produits industriels roulants:
    • tracteurs agricoles et remorques.

Étant une opération facile et simplifiée, l’exportation doit être fortement encouragée. Contrairement à ce que la plupart pensent, les documents à fournir sont deux fois plus simples que le dossier exigé lors de l’importation. En effet, il suffit d’avoir les bonnes informations et surtout de bons partenaires.

Que faut-il savoir ?


Tout d’abord, il ne faut pas forcément être producteur pour pouvoir exporter. Toutefois, l’avantage qui se présente pour le producteur algérien consiste dans la possibilité d’exporter systématiquement avec le même code de son registre de commerce.

En effet, il n’existe pas beaucoup de critères strictes et contraignantes à respecter.

Le produit peut être exporter dans tout état physique, qu’il soit gazeux, solide ou liquide.

À chaque type son propre emballage de transport :

  • Gaz en citernes cryogéniques,
  • liquides en flexy, conteneurs dry et open tops si nécessaires.

Ainsi, la marchandise est acheminée par terre vers les points de bureau douane aéroport ou port accompagnés de certains documents.

Les documents à fournir:

Il s’agit de la documentation export, facture domiciliée, note de poids ou liste de colisage, EUR1 si vers Europe, certificat d’origine ou certificat en arabe d’origine dans le cadre de la convention inter arabe.

Outre les éléments susmentionnés, le dossier à fournir doit dans certains cas comporter des autorisations d’export soumis a priori par les différents ministères en fonction du produit. Néanmoins, il convient de préciser que la plupart des produits ne sont pas concernés par cette condition.

Enfin, les opérations d’exportations requièrent principalement une logistique en amont, l’export en lui-même au poste-frontière est bien simplifié par les douanes et polices des frontières.

Faut-il avoir un bon Logisticien ?

La réponse est oui. Une opération d’exportation a fortement besoin d’un bon partenaire pour atteindre les objectifs fixés.

Il s’agit évidemment d’un transitaire qui s’occupera de toutes les démarches nécessaires pour acheminer la marchandise d’un point A vers le point B. En effet, c’est une personne polyvalente dans le sens où elle a la possibilité de faire réussir cette opération sur tous les plans.

Autrement dit, cette personne qui joue le rôle d’un intermédiaire, aura pour mission de mettre en place l’opération d’exportation, étape par étape.

Et ce, tout en évitant à l’exportateur les procédures administratives précitées. Le transitaire s’occupe également du volet juridique et assure la logistique ainsi que la communication et la coordination avec le pays importateur.

Son savoir-faire permet par ailleurs de bien gérer des imprévus ou de régler des litiges. C’est un véritable gage de succès et surtout un gain de temps énorme qui peut éviter à l’exportateur plusieurs contraintes.

La société INTRAMAR (International Transit Maritime) dont le siège se trouve à Oran, s’est lancée dans ce domaine depuis 1993.

Spécialisée particulièrement en hydrocarbure, elle est présente également dans d’autres villes via ses agences au niveau « d’Arzew, Alger, Skikda et Mostaganem ». En outre, ses bureaux à « Ghazaouet (Tlemcen) et Djen Djen (Jijel) » en disent long sur son expertise maritime.

Concrètement, INTRAMAR propose un large choix de services, tels que le dédouanement, la supervision des opérations commerciales (embarquement/débarquement), l’entrepôt sous-douane, groupage et dégroupage. Ses activités concernent tout autant les transports aériens que ferroviaires, maritimes, routiers et internationaux.

INTRAMAR assure également le transport de conteneurs, logistique, gestion de parc, ainsi que d’autres services variés.

Son directeur estime que l’Etat fournit en cette période toutes les facilitations aux opérateurs afin de booster l’exportation hors hydrocarbure. C’est pourquoi, il est temps de saisir l’opportunité.

Coordonnées transitaire INTRAMAR:

Adresse:
INTRAMAR siège 19 Av Larbi Tebessi Oran 31000

Tel:
0 41 332 284